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«Fournir au public des informations sur la Terre et ses mystères est la façon dont je partage ma passion pour la géologie.»

-
John Clague, P.Geo.

« J’ai exercé ma pratique en tant que professionnel pendant une grande partie de ma carrière. Ce statut m’a donné des privilèges mais également des responsabilités. Cela m’a permis de participer à des projets très intéressants autant au Canada qu’à l’étranger. Être professionnel a signifié pour moi de faire tout en mon possible pour protéger le public et l’environnement. »

-
Doug VanDine, P. Geo.

Avoir le titre de Géo. est important pour moi, parce qu’il fait foi de mon dévouement et de mon engagement vis-à-vis de la qualité de l’exercice de ma profession. Cela signifie également qu’en tant que professionnel, je suis responsable face à la société.

-
Jeff O’Keefe, P.Geo.

Devenir un géo. professionnel.

Les géoscientifiques sont des professionnels, au même titre que les architectes, les médecins, les avocats, les forestiers et les ingénieurs. Vous n’engageriez sûrement pas un avocat ou un comptable ne détenant pas un permis d’exercice, de même que vous ne permettriez pas à un chirurgien non qualifié de vous opérer, n’est-ce pas ? Alors dans le même ordre d’idée, vous n’engageriez pas un géoscientifique professionnel ne détenant pas un permis d’exercice. C’est en partie à cause de la fraude de la société minière Bre-X liée à l’exploitation aurifère et de l’incident de la contamination de l’eau à Walkerton qu’il s’est avéré essentiel de réglementer la profession de la géoscience. Ces deux catastrophes sont des exemples qui servent à démontrer qu’une meilleure gouvernance publique de la pratique géoscientifique au Canada aurait permis d’assurer une plus grande protection du public et aurait empêcher que la réputation de la profession de géoscientifique soit remise en question.

À propos de la fraude de la société Bre-X liée à l’exploitation aurifère:

« L’important trafiquage effectué sur les échantillons de forage, car c’est bien ce que nous croyons qu’il se soit passé, et qui a donné suite à la falsification de la teneur en or des échantillons examinés au laboratoire de Busang, est d’une telle ampleur et au fil du temps d’une telle précision, qu’à notre connaissance, cela en fait une fraude monumentale sans précédent dans l’histoire de l’exploitation minière dans le monde. » Strathcona Mineral Services Limited, Projet Busang – Rapport d’audit: – cité dans le livre “Bre-X: gold today, gone tomorrow: anatomy of the Busang swindle“ par Vivian Danielson, James Whyte, publié en 1997 par Northern Miner.

Pour en lire davantage http://www.thecanadianencyclopedia.ca/articles/macleans/brex-collapses

Extrait de la première partie du rapport de la Commission d’enquête sur Walkerton citant M. le juge Dennis O’Connor, Janvier 2002 :

Élément encore plus important, cette eau provenait d’une zone composée en grande partie de substratum rocheux fracturé. À cause de la nature de la fracturation et de la géologie du substratum rocheux environnant, il a été possible pour les bactéries transportées par les eaux de ruissellement de s’infiltrer rapidement dans un canal rocheux fracturé et de faire leur chemin directement jusqu’au puits 5. La contamination de l’eau brute par des bactéries coliformes et des coliformes fécaux a été révélée par les tests de pompage initiaux commencés en 1978 et qui se sont poursuivis jusqu’en mai 2000.”

Pour en lire davantage : http://www.attorneygeneral.jus.gov.on.ca/french/about/pubs/walkerton/part1/
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